frenchhope: santé* + intelligence artificielle*

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    https://www.lafnim.com/actualite/comm...le-investit-la-sante-publique-214.htm
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  2. Pour Frank Pasquale lui-même, loin d’être limités, les données et traitements « opaques, invérifiables et incontestables » se sont considérablement étendus depuis 2015 (l’association européenne Algorithm Watch dressait récemment le même constat) et avec eux, s’est étendu l’occultation de réalités sociales complexes, non sans conséquence pour les libertés publiques ou la santé publique. Pour le professeur de droit, dans les débats sur les traitements, nous occultons le contrôle social, politique et économique qu’exercent les systèmes et comment ils faussent les décisions, alors même que nous sommes saturés de récits technosolutionnistes. Le RGPD européen ou le droit à l’explication des traitements a certes ouvert le débat. Mais entre-temps, les traitements ont largement envahi tous les champs de la décision, de la médecine à l’éducation, en passant par les rencontres, l’application de la loi et les décisions commerciales.

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    Pour l’instant, la question de la transparence est plus l’affaire de ceux qui sont victimes des systèmes que de ceux qui opèrent ce travail de surveillance, notamment parce que c’est à eux de montrer qu’ils ont été indûment surveillés ou calculés, comme le souligne désormais le travail d’avocats à traquer les powerty lawgorithms, les décisions automatisées qui s’abattent en cascade sur les plus vulnérables. Jonathan Obar (@CDNJobar) prolonge ce constat en montrant qu’il faut trouver des solutions pour partager plus équitablement le fardeau de la transparence et de l’explicabilité. Or, souligne-t-il, les utilisateurs ne souhaitent pas s’engager dans la transparence : pour cela, il est nécessaire de construire des organisations intermédiaires entre ceux qui développent des systèmes et les utilisateurs finaux, en appelant à développer un nouveau cadre pour la gouvernance des données.

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    le lien entre ces différentes contributions consiste à souligner combien l’imbrication entre l’État et les industries érodent nos capacités d’action. Selon lui, nous devons repenser les relations entre l’expérience privée et l’objectif commun, chercher des alternatives viables à la seule commercialisation et au capitalisme de surveillance que cette commercialisation des données met en place.
    http://www.internetactu.net/a-lire-ai...s/la-societe-des-boites-noires-setend
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  3. L’idée de la surveillance participative revient en fait à créer un panoptique sans tour de contrôle : chacun rentre ses informations de santé sur une application reliée au cloud afin que le gouvernement prenne les décisions adaptées en temps réel. C’est ce que des pays comme la Corée du Sud ou Taïwan ont déjà choisi d’institutionnaliser tandis que d’autres comme la France se refusent encore à le faire.

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    Surveillance participative, localisation des citoyens, prédiction des maladies : les crises à venir pourraient sacrifier la liberté sur l’autel des technologies au nom de la santé de la population.
    https://theconversation.com/pour-la-s...logies-aux-depens-des-libertes-151990
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    https://www.scienceshumaines.com/sant...telligence-artificielle_fr_42551.html
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    https://securethoughts.com/medical-da...-auto-accident-victims-exposed-online
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    https://siecledigital.fr/2020/08/05/i...decider-quand-faire-appel-a-un-expert
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  7. Créer une musicothérapie

    Une collaboration entre chercheurs - des neuroscientifiques, des ingénieurs biomédicaux et des musiciens - s'est penchée sur la possibilité d'utiliser les interfaces neuronales directes dans le domaine de la musique. Ils travaillent sur un système qui pourrait analyser l'état émotionnel d'une personne à l'aide de ses signaux neuronaux, puis développer automatiquement un morceau de musique approprié.

    Par exemple, si vous vous sentez déprimé, les algorithmes du système pourraient vous écrire un morceau de musique pour vous aider à améliorer votre humeur. Le système a été testé sur des volontaires en bonne santé, ainsi que sur une personne atteinte de la maladie neurodégénérative de Huntington, qui provoque une forme de dépression.

    "L'une des raisons pour lesquelles quelqu'un fait une séance de musicothérapie est qu'il a de la difficulté à comprendre ses propres émotions ou à exprimer ses propres émotions. L'idée est donc d'utiliser la musique et les compétences du thérapeute. Et potentiellement cet appareil est utile pour aider à comprendre les émotions" dit Ian Daly, professeur à la School of Computer Science and Electronic Engineering de l'Université d'Essex.
    https://www.zdnet.fr/actualites/inter...rain-de-changer-le-monde-39891919.htm
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  8. -
    https://www.usinenouvelle.com/blogs/l...nudge-des-machines-affectives.N876955
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